Les maladies infectieuses constituent l'une des plus grandes menaces pour l'humanité ; elles évoluent, se propagent et affectent de manière disproportionnée les plus vulnérables. Chaque année, elles sont responsables de 15 % des décès dans le monde¹. En effet, six des 10 principales menaces pour la santé publique mondiale en 2019 étaient liées aux maladies infectieuses². Ceci n'a jamais été aussi manifeste qu'avec la pandémie de COVID-19, qui a provoqué une crise sanitaire mondiale majeure, affectant, directement ou indirectement, des milliards de personnes dans le monde. Tous ces facteurs montrent que le monde a besoin de solutions d'urgence dans sa lutte contre les maladies infectieuses.

Grâce à la science et à l'innovation, notre objectif est de proposer une approche de bout en bout pour prévenir, traiter et soigner les maladies infectieuses. Tous nos efforts sont déployés pour lutter contre les maladies infectieuses les plus complexes, trouver de nouveaux modes d'intervention et nous assurer qu'ils atteindront tous ceux qui en ont besoin. Notre objectif est ambitieux, à savoir assurer un avenir où nous pouvons prévenir la propagation des maladies infectieuses et libérer la santé mondiale de ces fardeaux.

Nous envisageons un monde où :

• Le monde n’est désormais plus menacé par la pandémie de COVID-19 ou par d’éventuelles pandémies futures.
• Nos médicaments et vaccins protègent les individus des dangers des maladies infectieuses à tous les stades de leur vie, de la petite enfance à l’adolescence et jusqu’à l’âge adulte.
• Les innovations en matière de traitement et de prévention nous permettent d’essayer de reléguer le VIH aux oubliettes de l’histoire.
• Un traitement fonctionnel* a mis fin à la lutte quotidienne des patients contre l’hépatite B chronique.
• Les plus vulnérables sont protégés contre la menace que représentent les infections respiratoires et bactériennes.

*N.B. La guérison fonctionnelle de l'hépatite chronique B est définie par une disparition durable de l'antigène de surface de l'hépatite B (antigène HBs) et un niveau sérique d'ADN de l'hépatite B indétectable pendant plus de six mois après l'arrêt du traitement.

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